Hier soir, à la soirée Sangha, nous avons étudié les trois premières des dix entraves qui nous lient à l'existence mondaine, au samsara. Ce sont l'entrave de l'existence du soi, l'entrave de l'attachement aux observances religieuses (rites et rituels) comme à des fins en elles-mêmes, et l'entrave du doute et de l'indécision.
Sangharakshita, dans un texte intitulé Le goût de la liberté, décrit ces entraves d'une façon très utile : il en parle en termes d'habitude, de superficialité et d'imprécision.
Je vous joins ce texte, pour votre lecture, votre réflexion... et votre transformation.